AGRIBIO DRONE

Drones Agricoles en France (Provence & Champagne, Occitanie et Vallée du Rhône, Bourgogne ...)

Semis à la volée par drone

semailles à la volée par drones agricoles en France

🇫🇷

Interventions partout en France

Semis par drone agricole de couverts végétaux

Tarif moyen ≈ 30€ / Ha (fonction des surfaces et kg/ha)

L’usage des drones agricoles gros porteurs pour semer des couverts végétaux à la volée présente des avantages remarquables. Ces drones, capables de disperser de petites doses (moins de 20 kg / ha) de semences, assurent une répartition précise sur de vastes superficies. Cette méthode adaptable répond aux besoins changeants du sol, optimisant l’utilisation des ressources sans tasser le sol. Elle favorise la biodiversité, la rétention d’eau et la préservation du sol, renforçant ainsi la durabilité agricole sans excès de semences ni altération des pratiques traditionnelles (pas de tassements des sols).

disponible partout en france 🇫🇷

Semailles de Trèfles, Vesce, Moutarde, Phacélie, Raids, Céréales d'hiver ...

Semer à la volée des couverts végétaux ou des cultures compagnes offre de nombreux avantages en agriculture, que ce soit pour améliorer la santé du sol, prévenir l’érosion, supprimer les mauvaises herbes ou augmenter la biodiversité. Plusieurs types de semences peuvent être utilisés dans cette pratique.

Les légumineuses comme le trèfle, la luzerne ou les pois sont souvent choisies pour leur capacité à fixer l’azote atmosphérique dans le sol, enrichissant ainsi la terre en nutriments pour les cultures suivantes. Ces semences peuvent être semées à la volée pour créer un tapis dense de couverture végétale. Leur système racinaire profond contribue à la structure du sol, le rendant plus aéré et améliorant sa rétention en eau.

Les céréales telles que le seigle, l’avoine, le blé ou le ray-grass sont également couramment utilisées comme couverts végétaux. Leur croissance rapide les rend efficaces pour étouffer les mauvaises herbes, tout en agissant comme un écran protecteur pour le sol contre l’érosion due au vent ou à la pluie. Semées à la volée, ces céréales peuvent former un paillis naturel qui aide à maintenir l’humidité du sol et à réduire les fluctuations de température.

En ce qui concerne la culture en attente sur d’autres cultures, le riz est un exemple notoire. Certaines plantes aquatiques comme le trèfle d’eau, les azollas ou les légumineuses aquatiques peuvent être semées à la volée sur les rizières inondées. Ces plantes agissent comme des cultures compagnes en capturant l’azote, en supprimant les mauvaises herbes et en améliorant la biodiversité tout en fournissant de l’ombre et en réduisant l’évaporation de l’eau.

L’utilisation de semences à la volée comme couverts végétaux ou cultures compagnes dépend des conditions climatiques, des objectifs de la culture principale et des pratiques agricoles. Il est essentiel de choisir les semences appropriées, de comprendre leur cycle de croissance et de les semer de manière appropriée pour maximiser leurs bienfaits pour le sol et les cultures.

Caractéristiques techniques:

  • Alimentation électrique des drones
  • Positionnement centimétrique de l’aéronef (GPS / RTK)
  • Charge utile des drones de 5 à 50kg
  • Tailles des semences : de 0.5 à 5 mm

Application solide ou liquide : semis par drone sur grandes cultures

Dans de nombreuses régions, l’automne est une période privilégiée pour semer à la volée des couverts végétaux. Les semis effectués à cette période ont l’avantage de bénéficier des pluies automnales pour assurer une bonne germination et une croissance initiale. Les couverts végétaux semés à l’automne ont suffisamment de temps pour se développer avant l’hiver, ce qui renforce leur efficacité pour protéger le sol, prévenir l’érosion et enrichir la structure du sol.

Dans certaines régions, le printemps peut également être une période propice pour semer à la volée des couverts végétaux. Les semis de printemps sont généralement effectués après la récolte des cultures principales ou pour accompagner les cultures déjà en place. Cela permet aux couverts végétaux de croître rapidement pendant la saison de croissance, fournissant des bénéfices similaires en termes de protection du sol, de suppression des mauvaises herbes et d’amélioration de la fertilité du sol.

Le choix de la saison de semis dépend des objectifs spécifiques pour lesquels les couverts végétaux sont utilisés, ainsi que des conditions climatiques locales. Certaines régions peuvent avoir des variations dans les périodes optimales de semis en raison de leur climat spécifique. Il est donc recommandé de consulter des sources locales ou des spécialistes agricoles pour déterminer les meilleures saisons de semis à la volée de couverts végétaux en fonction de votre zone géographique.

Réglementation drone agricole pour les semis

Malgré les avantages nombreux, depuis le 30 octobre 2021, il est interdit de pulvériser des produits phytosanitaires par drones, tel que le prévoyait l’article 253-8 alinéa 1 du Code rural et de la pêche avant l’adoption de la loi EGALIM.
 

« Pour toute opération ne se conformant ni aux règles de la Catégorie Ouverte ni à celles des scénarios standards nationaux ou européens, un exploitant doit demander une autorisation d’exploitation à l’autorité de son pays d’enregistrement. Cette demande s’appuie sur la fourniture par l’exploitant d’une étude de sécurité réalisée selon la méthodologie SORA (Specific Operations Risk Assessment) définie en moyen acceptable de conformité (AMC) de l’article 11 du règlement (UE) 2019/947. »

Quelles semences peuvent être semées à la volée ?

  1. Blé: Il peut être semé à la volée dans les champs ou les jardins.
  2. Avoine: Semée à la volée pour les cultures fourragères ou dans les jardins.
  3. Seigle: Cultivé en semant à la volée dans les champs.
  4. Ray-grass: Souvent semé à la volée pour les pelouses ou comme plante fourragère.
  5. Trèfle: Utilisé comme engrais vert ou plante fourragère, semé parfois à la volée.
  6. Moutarde blanche: Souvent semée à la volée comme engrais vert.
  7. Radis: Parfois semé à la volée dans les jardins potagers.
  8. Sarrasin: Semé à la volée pour la production de graines ou comme culture de couverture.
  9. Phacélie: Utilisée comme engrais vert, semée souvent à la volée.
  10. Céréales d’hiver: Certaines céréales comme l’orge, le seigle, le blé peuvent être semées à la volée dans des cultures de couverture ou des mélanges pour améliorer le sol.

Cependant, les techniques de semis varient selon les cultures, les conditions de croissance et les pratiques agricoles. Il est important de suivre les recommandations spécifiques à chaque plante pour obtenir de meilleurs résultats.

Pourquoi semer des couverts végétaux ? (sur le riz par exemple)

Semer des plantes comme la luzerne, le trèfle ou d’autres couverts sur les rizières apporte divers avantages à la culture du riz, en particulier dans les systèmes de riziculture intensive et durable.

1. Enrichissement du sol en azote : Les légumineuses telles que la luzerne et le trèfle sont capables de fixer l’azote atmosphérique grâce à la symbiose avec des bactéries présentes dans leurs racines. En les semant sur les rizières, ces plantes apportent de l’azote au sol, un élément crucial pour la croissance des cultures, notamment du riz. L’azote est un nutriment essentiel pour la production de protéines et la croissance des plantes, contribuant ainsi à augmenter les rendements du riz.

2. Suppression des mauvaises herbes : Les couverts végétaux comme la luzerne ou le trèfle ont une croissance rapide et dense qui étouffe les mauvaises herbes. En recouvrant le sol, ces plantes concurrentielles limitent la germination et la croissance des mauvaises herbes, réduisant ainsi la concurrence pour l’eau, les nutriments et la lumière du soleil avec la culture de riz.

3. Amélioration de la structure du sol : Les racines profondes et ramifiées des couverts végétaux favorisent la structure du sol en le rendant plus aéré et en améliorant sa capacité à retenir l’eau. Cela permet une meilleure infiltration de l’eau dans le sol, réduisant le risque d’engorgement et d’anaérobie, des conditions qui peuvent être néfastes pour la croissance du riz.

4. Réduction de l’érosion : Les plantes de couverture, avec leurs systèmes racinaires robustes, aident à stabiliser le sol, réduisant ainsi l’érosion due au vent et à l’eau. Sur les rizières, cela est particulièrement bénéfique car l’eau utilisée pour la culture du riz peut être sujette à l’érosion due aux mouvements des vagues ou à la force du vent.

5. Amélioration de la biodiversité : Introduire des couverts végétaux sur les rizières favorise la diversité biologique en fournissant un habitat pour divers organismes bénéfiques tels que les insectes pollinisateurs, les vers de terre et les micro-organismes du sol. Une biodiversité accrue contribue à des écosystèmes agricoles plus équilibrés et résilients.

En combinant ces avantages, semer des plantes comme la luzerne, le trèfle ou d’autres couverts sur les rizières offre une approche durable pour améliorer la fertilité du sol, augmenter les rendements du riz et réduire l’utilisation d’engrais azotés synthétiques, favorisant ainsi une agriculture plus respectueuse de l’environnement.

Culture du riz en France, en particulier en Camargues

En France, la culture du riz est principalement concentrée en Camargue, une région située dans le delta du Rhône, connue pour ses vastes zones humides et ses conditions climatiques propices à la riziculture. Voici comment se déroule généralement la croissance du riz en Camargue :

1. Préparation des champs : La culture du riz commence par la préparation des champs. Les terrains sont nivelés et des systèmes d’irrigation sont mis en place pour maintenir les niveaux d’eau nécessaires à la culture du riz.

2. Semis : Les semis de riz sont généralement effectués au printemps, autour du mois d’avril ou de mai, lorsque les températures sont plus élevées et que le risque de gelées est moindre. Les graines de riz, appelées « riz de semence », sont semées dans des parcelles inondées avec une couche d’eau peu profonde.

3. Croissance végétative : Le riz germe et pousse dans l’eau. Pendant cette phase, la plante développe ses racines et ses feuilles. L’eau est maintenue à un niveau optimal pour permettre une croissance saine et vigoureuse.

4. Formation des épis et maturation : À mesure que la plante de riz se développe, elle forme des épis où les grains de riz se développent. Cette phase peut durer plusieurs mois. La maturation du riz commence généralement en été et se poursuit jusqu’à l’automne. La couleur des épis passe du vert au jaune doré à maturité.

5. Récolte : La récolte du riz intervient généralement entre septembre et octobre. Une fois que le riz a atteint sa maturité, l’eau est souvent drainée des champs pour permettre à la plante de sécher. Ensuite, des machines spéciales appelées moissonneuses-batteuses sont utilisées pour récolter les épis de riz.

6. Post-récolte : Après la récolte, le riz est séché et décortiqué pour obtenir le grain de riz brut. Il est ensuite trié, nettoyé et peut être transformé en différents types de riz pour la consommation.

La riziculture en Camargue bénéficie du climat méditerranéen de la région, avec des étés chauds et des hivers doux, ainsi que de la disponibilité d’eau grâce au système d’irrigation. Les vastes étendues de rizières en Camargue offrent un cadre idéal pour la culture du riz, faisant de cette région l’une des principales productrices de riz en France.

Largages de trichogrammes par drone sur grandes cultures

Le largage de trichogrammes par drones dans les grandes cultures représente une avancée significative dans la lutte biologique contre les ravageurs nuisibles. Cette méthode utilise des drones pour disséminer de minuscules insectes parasitoïdes, appelés trichogrammes, qui sont des guêpes microscopiques. Ces trichogrammes sont déployés pour contrôler les populations de certains ravageurs, notamment les chenilles de lépidoptères, responsables de dommages considérables aux cultures.

Cette approche de lutte biologique consiste à introduire ces insectes prédateurs naturels dans les champs pour réduire les populations de ravageurs, sans avoir recours à des pesticides chimiques. Son principal avantage est sa précision ciblée, les trichogrammes n’étant pas nocifs pour les plantes, les animaux ou l’environnement.

Le largage de trichogrammes par drones présente plusieurs avantages notables. Tout d’abord, il assure une distribution précise et uniforme sur de vastes étendues de cultures. Cette précision maximise l’efficacité de l’application en ciblant spécifiquement les zones où les ravageurs sont présents, contribuant ainsi à la protection des cultures.

En outre, cette méthode est rapide et permet de traiter de vastes superficies agricoles en peu de temps, réduisant ainsi les coûts de main-d’œuvre et de matériel. De plus, les drones peuvent accéder à des terrains difficiles d’accès ou accidentés, élargissant ainsi l’utilisation des trichogrammes à des zones auparavant inaccessibles avec d’autres équipements agricoles.

Par ailleurs, l’utilisation de cette technique favorise le respect de l’environnement en réduisant la dépendance aux pesticides chimiques. Elle contribue à préserver la biodiversité, la santé des sols et la sécurité alimentaire, tout en minimisant les impacts négatifs sur l’écosystème agricole.

Cependant, malgré ses avantages, le largage de trichogrammes par drones peut présenter des défis, tels que des considérations réglementaires, des coûts initiaux élevés pour l’acquisition et l’entretien des drones, ainsi que la nécessité de former le personnel à cette technologie.

En résumé, le largage de trichogrammes par drones dans les grandes cultures offre une méthode innovante et prometteuse pour une agriculture plus durable et respectueuse de l’environnement. Cette approche biologique permet de gérer efficacement les ravageurs tout en réduisant l’utilisation des produits chimiques, offrant ainsi des solutions alternatives pour la protection des cultures.

Pourquoi un système autonome sélectif (détection sur IA) est très efficace ?

Un système autonome sélectif, reposant sur la détection par intelligence artificielle (IA), s’avère très efficace pour plusieurs raisons majeures.

Premièrement, l’efficacité d’un tel système découle de sa capacité à éliminer les erreurs humaines. L’IA utilisée dans la détection est capable d’apprendre et d’analyser d’énormes quantités de données. Elle peut ainsi distinguer avec précision les objets ciblés de leur environnement, minimisant ainsi les fausses alertes ou les détections incorrectes souvent rencontrées avec des méthodes de surveillance manuelles ou non automatisées.

Deuxièmement, la rapidité et la constance de la surveillance effectuée par l’IA sont des atouts majeurs. Contrairement aux êtres humains, l’IA fonctionne sans fatigue et est capable de surveiller de manière ininterrompue sur de longues périodes. Cela permet une détection continue et une réactivité immédiate en cas d’anomalie, améliorant ainsi la réponse aux incidents potentiels.

Troisièmement, la capacité d’adaptation de l’IA en fait un outil polyvalent. Les algorithmes d’apprentissage automatique peuvent être entraînés pour reconnaître un large éventail de cibles, et ils s’adaptent également à de nouvelles données. Ainsi, le système peut être mis à jour pour détecter de nouveaux types de menaces ou d’objets spécifiques sans nécessiter de modifications matérielles importantes.

En outre, la précision de l’IA dans la reconnaissance des modèles et des comportements permet une détection proactive des problèmes potentiels. Cette capacité prédictive permet de prévenir les incidents plutôt que de simplement y réagir, offrant ainsi aux utilisateurs une gestion proactive et une meilleure prise de décision.

En résumé, l’efficacité d’un système autonome sélectif reposant sur la détection par IA réside dans sa capacité à éliminer les erreurs humaines, sa rapidité et constance de surveillance, son adaptation aux nouveaux défis et sa capacité à détecter proactivement les problèmes. Ces caractéristiques en font un outil précieux pour la surveillance et la détection dans divers domaines, de la sécurité aux applications industrielles en passant par la protection de l’environnement.

Des semis à la volée par drones agricole gros porteurs sur des grandes cultures

Les semis à la volée par drones, avec un dosage entre 2 et 20 kg par hectare, peuvent être réalisés sur un large éventail de cultures en fonction de la nature des graines, des techniques de semis et des conditions propres à chaque culture.

Les céréales telles que le blé, l’orge, l’avoine, le seigle et même le maïs peuvent être semées à la volée par drones. Cette méthode est particulièrement utile pour les semis de céréales dans des zones difficilement accessibles ou pour des parcelles de tailles irrégulières.

Les cultures destinées à l’alimentation animale, comme le trèfle, la luzerne, le ray-grass ou le dactyle, sont également adaptées aux semis à la volée par drones pour les pâturages ou les cultures fourragères.

Des cultures oléagineuses et protéagineuses telles que le colza, le tournesol, le soja, les lentilles ou les pois peuvent également être semées à la volée par drones, que ce soit pour l’ensemencement de couverts végétaux ou pour la culture principale.

Les mélanges de graines pour couverts végétaux, comprenant une variété de plantes comme des légumineuses, des céréales et des brassicacées, sont souvent utilisés dans les semis à la volée par drones pour améliorer la fertilité du sol, supprimer les mauvaises herbes et augmenter la biodiversité.

Dans certains cas, des cultures maraîchères peuvent également bénéficier des semis à la volée par drones, surtout pour des semences de petite taille ou dans des zones où l’accès est difficile pour les équipements agricoles traditionnels.

En outre, des cultures spéciales ou des expériences agronomiques peuvent recourir aux semis à la volée par drones pour des besoins spécifiques, notamment pour des cultures nécessitant une méthode de semis particulière ou pour des études de recherche.

La faisabilité et l’efficacité des semis à la volée par drones dépendent de divers facteurs tels que le type de semences, les conditions météorologiques, la topographie du terrain et la technologie utilisée pour le largage des graines. Il est essentiel d’évaluer attentivement ces éléments pour déterminer si cette méthode convient aux besoins spécifiques des cultures envisagées.

Semis à la volée en arboriculture et vigne ?

Pour la vigne, le semis à la volée de couverts végétaux est une pratique courante visant à améliorer la santé des sols, à réguler la croissance des mauvaises herbes et à favoriser un équilibre écologique dans les vignobles. Cette technique délicate implique le semis de plantes spécifiques sous les rangs de vigne et/ou entre les rangs de vignes, offrant ainsi plusieurs avantages.

Sous les rangs de vigne, où l’espace est limité, des couverts végétaux sont semés pour couvrir le sol. Des espèces adaptées, comme certaines graminées ou des plantes à enracinement peu profond, peuvent être choisies pour éviter la compétition directe avec les vignes pour l’eau et les nutriments. Ces plantes peuvent aider à prévenir l’érosion du sol, à maintenir l’humidité et à améliorer sa structure.

Entre les rangs de vigne, les couverts végétaux sont souvent utilisés pour favoriser une concurrence compétitive contre les mauvaises herbes. En fonction des objectifs spécifiques du viticulteur, des mélanges de plantes adaptées sont semés pour empêcher la croissance des mauvaises herbes, réduisant ainsi le besoin de désherbage manuel ou chimique. Ces couverts végétaux peuvent également contribuer à la biodiversité de l’écosystème de la vigne, attirant des insectes utiles et favorisant la santé globale du vignoble.

La sélection des espèces de plantes pour les couverts végétaux en viticulture est essentielle pour s’assurer que ces plantes n’interfèrent pas avec la croissance ou la qualité des raisins. Les semis à la volée de couverts végétaux pour la vigne nécessitent donc une expertise approfondie pour choisir les bonnes plantes, gérer leur croissance et leur compétition avec la vigne, tout en maximisant les avantages pour le sol et l’écosystème viticole.

Cette pratique nécessite une approche précise pour le semis des couverts végétaux afin d’obtenir une couverture uniforme et de garantir que les plantes sélectionnées remplissent leur objectif sans nuire à la croissance ou à la qualité des raisins. Ainsi, l’application de cette méthode de semis à la volée de couverts végétaux en viticulture nécessite une compréhension approfondie des besoins spécifiques du vignoble, des conditions locales et des espèces végétales appropriées pour obtenir des résultats optimaux.

Dans le domaine de l’arboriculture, tout comme pour la vigne, le semis à la volée de couverts végétaux est une pratique bénéfique pour la santé des sols et la gestion des cultures fruitières. Cette méthode implique le semis de plantes spécifiques sous les arbres fruitiers ainsi qu’entre les rangs, offrant divers avantages similaires à ceux observés dans les vignobles.

Sous les arbres fruitiers, l’espace disponible est limité. Les couverts végétaux adaptés, comme certaines graminées ou des plantes à enracinement peu profond, peuvent être semés pour couvrir le sol. Ces plantes peuvent aider à prévenir l’érosion du sol, à maintenir l’humidité et à améliorer sa structure, tout en évitant une compétition directe avec les arbres fruitiers pour les ressources.

Entre les rangs d’arbres fruitiers, les couverts végétaux sont souvent utilisés pour réduire la croissance des mauvaises herbes et favoriser un environnement plus équilibré. Les mélanges de plantes sélectionnées sont semés pour empêcher les mauvaises herbes de pousser, réduisant ainsi le besoin de désherbage manuel ou chimique. Ces couverts végétaux peuvent également attirer des auxiliaires bénéfiques pour la culture, contribuant ainsi à la biodiversité de l’écosystème de l’exploitation fruitière.

Dans le cas de l’arboriculture, tout comme pour la viticulture, la sélection minutieuse des espèces de plantes pour les couverts végétaux est essentielle. Il est crucial de choisir des plantes qui n’entreront pas en compétition directe avec les arbres fruitiers pour les ressources vitales et qui n’auront pas d’impact négatif sur la croissance et la qualité des fruits.

Les drones agricoles sont la solution idéale pour les agriculteurs modernes, qui cherchent à améliorer leur production. Avec leur capacité à semer des couverts végétaux de manière précise sur des terrains difficiles d’accès, ils peuvent aider à maximiser la qualité des cultures tout en économisant du temps et de l’argent. Les drones peuvent également collecter des données précieuses sur les parcelles de terre, ce qui permet aux agriculteurs de mieux comprendre les conditions de leur terrain et de prendre des décisions éclairées pour leurs cultures. En outre, leur utilisation aide à minimiser l’impact environnemental de l’agriculture et à réduire l’empreinte carbone. En utilisant des drones agricoles, les agriculteurs peuvent améliorer leur production et contribuer à un avenir plus durable pour l’agriculture.